Établi par M. Cronier, secrétaire scientifique

La section s’est réunie du lundi 28 au mercredi 30 novembre 2022, en salle Pierre Auger du Comité national.

Membres présents : Alain Badie, Emmanuèle Caire, Amélie Chekroun, Éric Coignard, Marie Cronier, Sylvain Dhennin (à distance), Aurore Didier, Sébastien Gondet, Alessia Guardasole, Marc Heijmans, Marlène Helias-Baron, Frédéric Hurlet, Frédérique Lachaud, Sandrine Lavaud, Sandra Lippert, Nicolas Poirier, Airton Pollini (à distance pour une partie de la session), Vanessa Py-Saragaglia, Carole Roche-Hawley, Florian Téreygeol, Cécile Voyer.

Entretien avec Marie Gaille et Stéphane Bourdin

Le lundi 28 novembre, la section a reçu Marie Gaille, directrice de l’InSHS (en présence), accompagnée de Stéphane Bourdin, directeur adjoint scientifique en charge de la section 32 (à distance).

CONCOURS 2023

Marie Gaille. Les postes ouverts au concours chercheurs 2023 du CNRS seront publiés le 5 décembre. Je ne tiens pas à donner le nombre de postes avant cette diffusion officielle. L’InSHS se fixe d’élaborer un nombre de coloriages égal au maximum à 50 % des postes ouverts. Ce qui nous est annoncé cette année est 270 postes au concours chercheurs CNRS, contre 250 l’an passé : l’augmentation n’est pas négligeable mais doit être redistribuée sur l’ensemble des sections. L’InSHS obtiendra ainsi quelques postes supplémentaires mais pas un par section. J’ai discuté de la répartition à l’intérieur de l’InSHS avec les présidents des sections en juillet ; il faut noter que l’impact démographique change selon qu’on prend comme référence l’année n, n – 1, n – 5, n – 10 etc. Je ne sais pas quel est le bon nombre d’années qu’il faut considérer et je n’ai pas de solution parfaite pour pallier les baisses démographiques des communautés de recherche observables dans plusieurs sections. Les sections subissant les décrues les plus significatives sont les 32, 33, 34 et 36, avec des variations. Vous êtes plusieurs sections à monter au créneau pour ce qui est de la démographie des chercheurs. Il faut qu’on ait des ajustements concertés. Avec les collègues de la Section 36, nous avons décidé d’essayer d’identifier ensemble des sous-domaines sur lesquels on pourrait avoir un système d’alarme (quand il ne reste plus qu’un spécialiste de telle époque, de telle question etc.). Ce peut être une piste intéressante mais ce n’est pas la seule. De façon générale, la question n’est pas facile à instruire. Nous devons trouver une stratégie sur votre mandature, sans jouer une section contre une autre. Je vous ai entendus protester l’an dernier, mais les moyens de réponse demeurent limités.

Au niveau des DR, la politique d’Antoine Petit a été de desserrer l’étau des promotions, en particulier pour les DR2. Il souhaite désormais le faire au niveau des promotions DR1 ou DRCE. On peut s’attendre cette année à un petit peu plus de postes DR1 et DRCE (mais je n’ai pas les chiffres). L’an dernier, il y avait 5 promotions DRCE2 pour tout l’InSHS. Cette année, j’espère qu’il y en aura un par section mais ça n’est pas sûr. Il faut continuer à inciter les collègues à candidater, car le nombre de promotions dépend (partiellement) du taux de pression. Naturellement, nous sommes aussi tributaires de réajustements faits au niveau global du CNRS.

Frédéric Hurlet. Vous parliez de sous-domaines importants. Or la section 32 est une section de disciplines rares, dont plusieurs secteurs souffrent de départs à la retraite. L’archéologie est censée être considérée comme une priorité par l’InSHS mais cela ne se reflète pas dans le nombre de postes qui nous sont attribués. Notre déficit démographique date d’il y a longtemps : chaque année, on nous dit qu’il faut jouer un jeu collectif et qu’il y aura plus tard un rattrapage. Or, en pratique, on perd des postes chaque année et le rattrapage ne vient pas. L’an passé nous avions 5 postes CR, ce qui est pour nous l’étiage, et nous avons voté une motion de protestation. Nous sommes d’accord sur le fait que la démographie ne fait pas tout mais, étant donné le cadre scientifique actuel, nous ne comprenons pas pourquoi il n’y a pas un poste supplémentaire, par exemple en archéologie.

Marie Gaille. Dans nos arbitrages internes, nous faisons valoir une priorisation pour l’archéologie et l’anthropologie. Je ne peux pas vous promettre de rattrapage mais il y a des micro-rattrapages qui sont opérés. Cette priorisation a été importante dans les discussions que nous avons eues pour la répartition du nombre de postes.

Frédéric Hurlet. Cette année, la préparation des coloriages s’est très bien passée. On a eu une discussion par mails avec les collègues de la section, puis une discussion avec Stéphane Bourdin. Idéologiquement, la section a été longtemps opposée aux coloriages et le reste, mais notre position a changé en devenant plus pragmatique. Puisque nous évoquions les sous-domaines, il faudrait des postes coloriés en lien avec des domaines menacés. Ainsi, le coloriage ne serait pas un poste pris sur les 5, mais un poste en plus, pour une discipline rare. Nous pouvons discuter de cela pendant les 3 ou 4 années qui restent de notre mandature. En tout cas, le nombre de 5 postes qu’on subodore pour le concours CRCN de 2023 est trop faible par rapport à la politique qu’on veut mener.

Marie Gaille. Il y a une question de temporalité : quand la discussion s’amorce entre les sections et l’institut, à la fin de l’été, on ne sait pas encore combien de postes on aura. Cependant, j’invite les DAS à avoir ces discussions car les idées échangées ne sont pas perdues. Si vous percevez des domaines que vous avez envie de porter, cela peut évidemment constituer un sujet de discussion pour un coloriage. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que les Instituts doivent verser dans les CID ou les sections relevant d’autres instituts un certain nombre de postes pour l’interdisciplinarité : avec Stéphane Bourdin, vous pouvez réfléchir à la façon dont cela pourrait servir votre domaine disciplinaire, avec exemple en CID 53 ou 55.

Frédéric Hurlet. Précisément, nous sommes en train de demander à ce que la Section 32 entre dans le périmètre de la CID 52. Cependant, il nous faudrait en plus de cela des coloriages sur des disciplines qui sont au cœur de notre section. Il n’y a pas que des considérations comptables qui doivent entrer en jeu, mais aussi des arguments scientifiques.

Marie Gaille. En 2015, il y avait 90 postes au concours à l’InSHS et cette année à peine 40 : la marge de manœuvre est donc minime. Étant donné que nous devons verser environ 15% de notre volant de postes pour l’interdisciplinarité, nous avons une petite marge : c’est mieux que rien et vous devez mener un travail en ce sens avec Stéphane Bourdin.

Frédéric Hurlet. Il y a cette année des postes en plus par rapport à l’an dernier (270 au lieu de 250) et vous avez repéré notre section comme étant parmi les sections déficitaires (32, 33, 34, 36…). Peut-on en attendre quelque bénéfice ?

Marie Gaille. Nous faisons malheureusement partie des instituts qui n’ont pas vraiment bénéficié de cette politique.

PROMOTIONS

Frédéric Hurlet. Il y a cette année 12 collègues qui demandent le passage de DR2 vers DR1, et 10 de DR1 vers DRCE1. Les dossiers sont tous vraiment excellents. Étant donné qu’il n’y a plus désormais de contingentement, peut-on compter cette année sur une augmentation des possibilités ?

Marie Gaille. Je ne peux pas vous donner le nombre, car je ne l’ai pas encore, mais faites remonter vos avis et montrez qu’il y a de la pression, afin que l’InSHS puisse présenter vos dossiers à Antoine Petit. Stéphane Bourdin a toujours bien défendu les dossiers excellents.

Par ailleurs, on a constaté qu’il y avait à l’intérieur du CNRS un différentiel marqué dans l’âge moyen de passage de l’HDR : vous êtes une des sections où cet âge moyen est le plus élevé. C’est préoccupant, d’autant plus qu’il y a une discussion générale au CNRS sur la place de l’HDR. Il faudrait inciter les collègues à soutenir leur HDR un peu plus tôt.

Frédéric Hurlet. C’est une tradition académique très forte, qui impose un mémoire inédit de 300-400 pages.

Florian Téreygeol. On ne demande pas du tout la même chose dans une HDR en économie, mathématiques, physique ou en archéologie. Cela ne prend pas du tout le même temps.

Marie Gaille. Cette constatation vaut même au sein des sciences humaines et sociales.

Frédéric Hurlet. Je suis d’accord avec le constat, mais on ne peut pas changer les pratiques du jour au lendemain.

Qu’en est-il des promotions de CRHC vers HEB ?

Marie Gaille. Nous n’avons pas eu de chiffres de la part des RH. Je n’ai pas de critères à vous communiquer.

Sandra Lippert. Sur quelle base devons-nous les classer ?

Marie Gaille. Je ne suis pas en capacité de vous répondre car ce n’est pas du ressort des instituts. Les cadrages sont indiqués par la Direction des ressources humaines en lien avec la présidence.

Frédéric Hurlet. Pour la promotion au grade de CRHC, malheureusement les collègues ne candidatent pas même s’ils sont aux échelons 9 ou 10. En revanche, pour les DR2, il y a un vivier excellent et très fourni.

Marie Gaille. Pour les promotions CRHC, ce sont normalement les collègues aux échelons 9 et 10 qui sont promus. Cependant, l’an dernier, ils n’étaient pas assez nombreux et on a promu quelques candidats à l’échelon 8. Il est possible que cela soit de nouveau possible cette année.

HCÉRES

Amélie Chekroun. Les unités de la vague C doivent présenter un projet sous forme de « trajectoire » : commence cela va-t-il se passer ?

Marie Gaille. Pour tous les laboratoires de la vague C, le dépôt du dossier auprès du HCÉRES doit se faire dans les jours qui viennent. Ce dernier va constituer son rapport, nous le transmettre et nous demander si l’on a des remarques : en général le CNRS ne fait pas de retour au HCÉRES. Ensuite, la « trajectoire » sera communiquée au CNRS (en principe des discussions ont déjà eu lieu à ce sujet avec les DAS) et arrivera à la Section pour la session de printemps 2023. Je ne sais pas ce qui va se passer pour la vague D : il est possible que le HCÉRES revienne au format antérieur, à savoir un bilan et un projet. [Depuis cet échange, nous disposons de plus d’informations sur le sujet, voir https://www.hceres.fr/fr/campagne-devaluation-2023-2024-vague-d].

Frédéric Hurlet. Avez-vous des informations sur la resynchronisation ? Y aura-t-il une session blanche au prochain printemps pour les évaluations de chercheurs, qui permettrait le retour à un examen des dossiers de chercheurs conjointement avec l’avis de pertinence pour le renouvellement de l’association de leur laboratoire ? En effet, certains collègues n’ont pas d’information pour la date du dépôt de leur rapport individuel.

Marie Gaille. Non, je n’ai pas entendu que cela ait été discuté et je n’ai aucune information à ce sujet[1]. Par ailleurs, le CNRS devra remettre son propre rapport d’évaluation début 2023, rapport qui fera l’objet d’une évaluation au printemps 2023 par un jury international, avec deux collègues de SHS. Nous avons mené un gros travail pour l’évaluation de nos publications, afin de proposer un document qui sera mis en ligne sur le site de l’InSHS et proposera un instantané des publications en SHS du CNRS entre 2017 et 2021. Il comportera une trentaine de pages, avec un focus sur la science ouverte.

RIPEC-C3

Marie Gaille. Vous faites partie des sections « bienveillantes », c’est-à-dire qui ont accepté d’évaluer les candidatures. Je vous en remercie au nom de l’Institut. Le nombre de candidatures a été très nettement supérieur à celles de la PEDR les années antérieures. L’InSHS a obtenu 150 possibilités (les choses vont se mettre en route graduellement pour les années à venir). La section 32 en a obtenu 12 (ce qui est beaucoup plus que les PEDR). Il y avait un contingent réservé aux personnes qui siégeaient dans les sections du Comité national : 8 possibilités à l’InSHS, donc 1 possibilité par section. C’est une procédure extrêmement chronophage, qui a présenté de nombreuses difficultés, mais qui a été menée à bien in fine, grâce à la mobilisation de chacun.

Frédéric Hurlet. Nous avons réalisé ce travail aussi sérieusement que possible, en ayant conscience de ne rendre que des avis et non des décisions. Pourra-t-on avoir un retour sur nos avis ?

Stéphane Bourdin. Vos avis ont été suivis : les 12 personnes que vous avez classées ont été proposées à la direction du CNRS.

DÉLÉGATIONS

Marie Gaille. Grâce à un financement exceptionnel du Ministère, 80 % des demandes ont été couronnées de succès en 2022, ce qui est énorme. Pour 2023, le calendrier va être peu ou prou le même : les établissements d’origine seront informés de l’arbitrage courant mai 2023. La section devra donc examiner les demandes entre Noël et février.

CHAIRES DE PROFESSEURS JUNIORS

Frédéric Hurlet. Quels sont les résultats de la vague 2 des CPJ ? Et comment se passe la vague qui se déroule actuellement ?

Marie Gaille. Pour les chaires CNRS, nous avions 3 possibilités. La chaire 1 (« Science ouverte en SHS », notre chaire la plus risquée) a reçu 8 candidatures, dont 4 ont été auditionnées : la personne lauréate prend son poste à OpenEdition. La chaire 2 (« Intelligence artificielle en SHS »), quant à elle, a obtenu 20 candidatures, pour 5 auditions. Le candidat retenu ira à l’ISC-PIF. Pour la chaire 3 (« Habitabilité de la terre et transitions justes »), il y a eu 16 candidatures et 4 auditions : c’est une anthropologue qui a été retenue.

Le bilan est plutôt positif et les candidats étaient très bons. En général, leur profil ressemble à ce qu’on appelait auparavant des CR1 : ce sont des personnes qui ont fait leur thèse en France puis des post-doctorats à l’étranger et cherchent à revenir en France. Il y avait plus d’hommes que de femmes mais c’est peut-être le hasard. Les trois chaires ont été pourvues avec des candidats estimés d’excellente qualité, que nous allons essayer d’accompagner assez attentivement. Pour la prochaine vague (la 3^e), la commande du ministère est un peu différente : le MESR a demandé que le CNRS (comme les autres organismes de recherche et les universités) élabore une stratégie pluriannuelle. L’InSHS a proposé pour sa part 5 thématiques prioritaires (1. Cognition, langage et éducation ; 2. Art, patrimoine et culture ; 3. Action et politique publique ; 4. Santé ; 5. Habitabilité de la terre). De nouveau, pour 2023, il y aura finalement trois possibilités et trois projets ont été élaborés : 1. Arts visuels et expressions graphiques (sont rattachés des laboratoires de la Section 32) ; 2. Mesure des inégalités éducatives (sections 34, 36, 37) ; 3. Action de politique publique (sections 36 et 40). Nous attendons de voir si elles sont validées par le ministère. En outre, 2 propositions inter-instituts ont été faites : 1. Modélisation des formes de réseau, de diffusions (avec l’Institut des mathématiques) ; 2. Littoraux et changements sociaux et environnementaux.

Sandra Lippert. Pour la titularisation dans le corps des DR, quel sera le rôle des sections du CN ?

Marie Gaille. Pour l’instant, je l’ignore. Cela dépendra des discussions que les sections vont avoir avec le CNRS.

Départ de Marie Gaille.

RETOUR SUR LE CONCOURS 2023

Stéphane Bourdin. En ce qui concerne les postes qui vont être publiés, ce seront à peu près les mêmes chiffres que l’an passé. La discussion est un peu contrainte, si bien qu’il ne faut pas s’attendre à des miracles. Il va falloir jouer sur les profils en CID, mais la marge de manœuvre est extrêmement réduite.

Frédéric Hurlet. La section est parfaitement fondée à demander une discussion sur des disciplines rares : il nous faut un poste en plus et des postes en CID.

Stéphane Bourdin. C’est tout à fait légitime. Votre démarche est importante, car cela nous permettra de réagir favorablement quand cela sera possible, grâce à votre argumentaire.

Sébastien Gondet. Dans les disciplines rares, comme il n’y a pas beaucoup de postes, des candidats se présentent au concours CRCN avec un profil de CR1 et nous sommes conduits à les écarter. Est-ce que les CPJ ne pourraient pas être affectées à des disciplines rares ?

Stéphane Bourdin. L’outil n’est pas assez précis pour répondre à une demande d’emploi dans une discipline rare. En effet, pour l’instant les CPJ sont nécessairement interdisciplinaires et à profils suffisamment larges pour permettre des candidatures dans des sections diverses.

Activités de la Section

Propositions de la Section 32 pour les médailles de bronze et d’argent

Pour la médaille de bronze, la section a proposé Nadine Schibille, CRCN rattachée au laboratoire IRAMAT (UMR 7065) à Orléans.

Pour la médaille d’argent, la section a proposé Sabine Fourrier, DR2 rattachée au laboratoire HiSoMA (UMR 5189) à Lyon, et Élodie Lecuppre-Desjardin, professeure à l’Université de Lille III et membre du laboratoire IRHiS (UMR 8529) à Lille.

Promotions CRCN vers CRHC

Il faut rappeler en préambule que d’après les indications données par la direction du CNRS, cette promotion s’adresse d’abord aux chercheurs CRCN qui sont aux 9^e et 10^e échelons. La section incite tous les collègues qui sont dans cette situation à déposer leur candidature. Il faut en outre préciser qu’une telle promotion ne pénalise en aucune manière les chercheurs CRCN qui seraient désireux par la suite de passer le concours DR2.

Il y avait 8 candidatures :

• 1^re – Élisabeth Lusset (LAMOP, UMR 8589)
• 2^e – Jérémie Schiettecatte-Emery (O&M, UMR 8167)
• 3^e – Françoise Rougemont (ARSCAN, UMR 7041)
• 4^e – Aline Tenu (ARSCAN, UMR 7041)
• 5^e – Dan Dana (HISOMA, UMR 5189)
• 6^e – Anca Dan (AOROC, UMR 8546)
• 7^e – Alcorac Alonso Déniz (HISOMA, UMR 5189)

Promotions CRHC vers HEB

Il y avait 4 candidatures :

• 1^re ex-aequo – Véronique Brouquier Reddé (AOROC, UMR 8546)
• 1^re ex-aequo – Sonia Fellous (IRHT, UPR 841)
• 3^e ex-aequo – Jean-Pascal Fourdrin (IRAA, UAR 3155)
• 3^e ex-aequo – Jean-François Goudesenne (IRHT, UPR 841)

Promotions DR2 vers DR1

Il y avait 12 candidatures :

• 1^re – Marie-Laure Derat (O&M, UMR 8167)
• 2^e – Jean-Baptiste Yon (HISOMA, UMR 5189)
• 3^e – Stéphane Mauné (ASM, UMR 5140)
• 4^e – Marie-Pierre Ruas (AASPE, UMR 7209)
• 5^e – Sabine Fourrier (HISOMA, UMR 5189)
• 6^e – Sylvia Nieto Pelletier (IRAMAT, UMR 7065)
• 7^e – Nele Ziegler (PROLAC, UMR 7192)

Promotions DR1 vers DRCE1

Il y avait 10 candidatures.

• 1^er – François Bougard (IRHT, UPR 841)
• 2^e – Corine Debaine-Francfort (ARSCAN, UMR 7041)
• 3^e – Jean-Charles Moretti (IRAA, UAR 3155)
• 4^e – Marie-Dominique Nenna (CEALEX, UAR 3134)

Promotions DRCE1 vers DRCE 2

Il y avait une candidature.

•             1^re – Véronique Boudon Millot (O&M, UMR 8167)

Évaluations de chercheurs et chercheuses

• ARAR (UMR 5138) : 4 avis favorables.
• ARCHEORIENT (UMR 5133) : 8 avis favorables.
• ASM (UMR 5140) : 5 avis favorables.
• CCJ (UMR 7299) : 1 avis favorable.
• CIHAM (UMR 5648) : 6 avis favorables.
• FRAMESPA (UMR 5136) : 2 avis favorables.
• GEODE (UMR 5602) : 1 avis favorable.
• HISOMA (UMR 5189) : 12 avis favorables.
• ISEM (UMR 5554) : 1 avis favorable.
• TRACES (UMR 5608) : 4 avis favorables.

Changement de section

            Il y avait une demande de rattachement à la Section 32 pour un CR relevant d’une autre section. Avis défavorable.

Confirmation d’affectation des lauréats et lauréates du concours CRCN 2022 et désignation de leurs directeurs ou directrices de recherche

• Chloé Capel : O&M, UMR 8167 (directeur de recherche proposé : Sébastien Gondet).
• Hernán González Bordas : AUSONIUS, UMR 5607 (directeur de recherche proposé : Frédéric Hurlet).
• Ariane Pinche : CIHAM, UMR 5648 (directrice de recherche proposée : Marie Cronier).
• Antonio Ricciardetto : HISOMA, UMR 5189 (directrice de recherche proposée: Alessia Guardasole).
• Sarah Vilain : ARSCAN, UMR 7041 (directrice de recherche proposée : Carole Roche-Hawley).

Confirmation d’affectation des lauréats et lauréates du concours DR2 2022

• Julien Aliquot : HISOMA (UMR 5189).
• André Binggeli : IRHT (UPR 841).
• Matthieu Cassin : IRHT (UPR 841).
• Christine Rendu : FRAMESPA (UMR 5136).
• Marie-Odile Rousset : ARCHÉORIENT (UMR 5133).
• Corinne Sanchez : ASM (UMR 5140).

Titularisations

Avis favorables pour Brice Ephrem (CREAAH, UMR 6566), Stéphane Lamouille (IRAA, UAR 3155), Agnès Lorrain (TDMAM, UMR 7297), Antonin Nüsslein (ARCHIMÈDE, UMR 7044) et Valérie Schram (ARSCAN, UMR 7041).

Changements de direction d’unité

Avis très favorables :

• à la nomination de Cécile Voyer en qualité de directrice du CESCM (UMR 7302) ;
• à la nomination de Julien Dubouloz en qualité de directeur de l’IRAA (UAR 3155).

Évaluation d’école thématique

• avis favorable pour : NEOLATINLYON, portée par Smaranda Marculescu (IHRIM, UMR 5317).

Évaluations de demandes de subvention de revues

Avis très favorable pour : Afriques ; Antiquités Africaines ; Archéologie médiévale ; ArchéoSciences ; Artefact. Techniques, histoire et sciences humaines ; Cahiers « Mondes anciens » ; e-Storia. Les Cahiers de Framespa ; Gallia ; Les Nouvelles de l’archéologie ; Revue archéologique de l’Ouest ; Syria ; Tabularia ; Tsafon.

Pas d’avis pour : Genre et Histoire ; Histoire, médecine et santé.

Candidatures à la composante C3 du RIPEC

La section 32 du Comité national de la recherche scientifique a choisi de participer au processus d’attribution en 2023.

Préparation des concours 2023

La section 32 a choisi de ne pas auditionner les candidats au concours de directeur de recherche 2^e classe 2023 et de ne pas faire appel à des experts.

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[1] NB : Entre temps, il a été annoncé que le CNRS a décidé de remettre en phase l’évaluation de l’activité des chercheurs et des chercheuses des vagues D et B avec l’évaluation des unités. En conséquence, les campagnes d’évaluation des chercheurs des vagues D et B sont reportées respectivement au printemps 2024 et à l’automne 2024.

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